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RÉÉCRIRE LES LIVRES D'HISTOIRE
Le dimanche 10 septembre, un jeune rêveur, SAM LAIDLOW, a accompli l'impensable, quand il n'a pas seulement inscrit son nom dans les livres d'histoire... il les a réécrits :
1ère victoire à l'Ironman lors du tout premier Championnat du Monde Ironman organisé en France.
1er triathlète français à remporter le titre de Champion du Monde Ironman.
Le plus jeune homme à porter la couronne à l'âge de 24 ans.
Le tout premier Championnat du Monde Ironman à avoir lieu en dehors de l'Amérique du Nord a été riche en action comme prévu lorsque la course masculine a atterri sur la Côte d'Azur française, à Nice. Démontrant qu'il avait la finesse pour se hisser sur la plus haute marche après sa 2e place à Kona l'année dernière, le Français né en Grande-Bretagne mais représentant la France, a illuminé la célèbre Promenade des Anglais en ce jour spécial de septembre... un jour qui ne sera pas facilement oublié. Il a eu la course de sa vie lorsqu'il a pris la tête dès le début de l'étape vélo, imposant un rythme intouchable pour toute la course avant de franchir la ligne d'arrivée après 8h01'19" devant une foule enthousiaste.
"LOOK MUM, I CAN FLY!"
C'est une autre première pour Sam Laidlow après une année de "premières" historiques.
Cette fois, il s'agit de son tout premier documentaire, qui nous fait vivre avec émotion les hauts et les bas de sa carrière de triathlète professionnel. Il nous plonge dans son année la plus difficile à ce jour, qui aboutit finalement à ce qu'il décrit comme le plus grand accomplissement jamais réalisé en ce dimanche spécial de septembre.
Sam Laidlow a fait l'impensable en ne se contentant pas d'écrire son nom dans les livres d'histoire... il l'a recréé :
1ère victoire en Ironman lors des premiers Championnats du Monde d'Ironman organisés en France
1er triathlète français à obtenir le titre de champion du monde d'Ironman
Plus jeune homme à porter la couronne à l'âge de 24 ans
"Il n'y a jamais eu de champion du monde français et j'espère que ce sera le premier d'une longue série."
"Cela a été une saison difficile. [J'ai eu] une blessure, j'ai eu le covid deux semaines et demie avant.
"Je pense que je suis venu ici peut-être un peu plus frais que certaines personnes. Je n'avais vraiment que deux semaines d'entraînement derrière moi, mais j'ai fait quelques bonnes séances."
Parlant de son approche de la course, il raconte : "Je voulais vraiment l'aborder avec la même mentalité que l'année dernière. Je suis juste un gamin qui aime faire ça, je suis reconnaissant de courir avec les meilleurs et, oui, je veux juste voir jusqu'où ce rêve peut me mener." "J'avais juste de bonnes jambes", explique Laidlow. "J'ai nagé fort pour essayer de casser un peu les groupes, puis je me suis caché derrière Jan Frodeno. Ensuite, à vélo, j'ai roulé à la puissance que je pensais pouvoir tenir lors d'une bonne journée. Vous savez, il faut prendre des risques. J'ai fait une chose similaire à Lanzarote au début de l'année et j'ai complètement explosé. Mais ici, j'ai juste réussi à tenir bon.
La course à pied - j'avais l'impression de devoir courir seulement 35 km parce qu'à chaque fois que je revenais [pour commencer le tour suivant], cette foule, l'adrénaline, c'était absolument fou.
Il n'y a jamais eu de champion du monde français et j'espère que ce sera le premier d'une longue série."
La recommandation de Sam !
